Confronté à la montée galopante du grand banditisme à Conakry (criminalité, vols à mains armées, phénomène indésirable du trafic illicite des organes humaines, de drogue et de stupéfiants de toutes catégories, les Conakrykas vivent actuellement dans la panique générale. Faut-il le rappeler au ministre de la sécurité.

De nos jours, il ne se passe pas deux ou trois jours sans qu’un vol à mains armées n’ont été enregistrés, un meurtre ou un enlèvement d’enfant ou des personnes âgées.

L’obscurité aidant dans maints endroits de la Capitale, les bandits sont bien à l’aise de commettre leurs sales besognes. Parfois même ils profitent de l’indélicatesse des services de sécurité pour leur faucher le pas. En tout cas, c’est le constat qui peut se dégager aux yeux des observateurs. Et, c’est pourquoi malgré la sollicitation de collaboration souhaitée par la police et les citoyens, personne ne veut s’hasarder à s’exposer au danger ou de peur d’être pris en sandwich par les malfrats et sans aucune protection. Voilà tout le problème.

Issiaga Camara (Fazo) pour guinee-info.com